Au troisième jour qui suit l’exitus, l’élu voit venir vers lui une forme éblouissante dans laquelle il reconnaît une jeune fille plus belle que toute beauté jamais vue dans le monde terrestre. À son interrogation émerveillée : « Qui es-tu donc ? ». Elle répond : « Je suis ta Daênâ, celle que tes pensées, tes paroles, tes actions ont faite. J’étais aimée, tu m’as faite plus aimée ; j’étais belle, tu m’as faite plus belle encore. »
Littérature avestique
LA BEAUTÉ
