Ô toi qui est dissimulé dans mon ombre,
Lève-toi durant cette nuit je t’en prie,
Éclaire ma barque avant qu’elle ne sombre,
Dans les ténèbres de mon âme meurtrie.
La moitié de cette nuit ou un peu moins,
Ou un peu plus, tu es la source de vie,
De ta lumière irisée, j’ai grand besoin,
Pour illuminer le chaos de mon être,
Et ordonner mon univers avec soin.
